Le linceul de Turin, preuve de la divinité de Jésus Christ

Le linceul de Turin, preuve définitive de la divinité de Christ

Sur la chaîne Youtube « La Grande Mission avec Marie », voir la playlist « Révéler Dieu à la fin des temps » (3 vidéos, dont 1 sur le linceul de Turin).

 

Le linceul de Turin est un tissu que la science elle-même ne peut que déclarer miraculeux devant le caractère extraordinaire et inexplicable de ses propriétés physiques. Le linceul de Turin est manifestement la preuve irréfutable de la divinité de Jésus Christ et un élément de compréhension de la résurrection. Parce que cette relique est extraordinaire, elle a inspiré de nombreuses études, livres, articles et vidéos d’explications sur internet. Ce texte n’apporte rien de plus à tous ces témoignages. Il cherche juste à synthétiser l’information au maximum pour donner plus facilement des arguments aux sceptiques sur les preuves de l’existence de Dieu et la divinité de Jésus Christ.

Pour le croyant en effet, il n’y a pas besoin de prouver scientifiquement l’existence des miracles pour le maintenir dans la foi. Mais pour le non croyant, la connaissance de miracles qui prouvent l’existence de Dieu, provoque parfois le déclic qui permet la conversion. Car comme disait Pasteur, « un peu de science éloigne de la foi, mais beaucoup y ramène. »

La conversion est en elle-même un miracle, le miracle de la vie du Saint Esprit dans nos âmes. On voit des personnes très matérialistes, ou cartésiennes qui, juste parce qu’elles ont été touchées par une parole de Jésus ou un récit sur une apparition de Notre Dame, se retrouvent du jour au lendemain embrasées d’amour et prêtes à mourir en martyr pour Dieu. Ou encore des délinquants endurcis, qui tout d’un coup se jettent à genoux et pleurent pendant des heures en suppliant Dieu de leur pardonner leurs péchés. Pareil pour les drogués qui du jour au lendemain se retrouvent sevrés. Internet est rempli de témoignages de ce genre.

Parmi les miracles qui sont des arguments massue pour prouver la vérité de la foi chrétienne, il y a le linceul de Turin. Le récit que je vais dérouler s’inspire largement du livre de Jacques Laurentie, intitulé « Face aux miracles ».

Le linceul exposé à Turin est le linge en lin qui a recouvert le corps de notre seigneur Jésus Christ à sa mort. Il montre l’image floue d’un homme qui a subi des tortures compatibles avec ce que l’on sait de la passion du Christ.

L’image sur le linceul n’a été ni dessinée, ni peinte. Elle n'est due à aucun pigment de peinture, colorant, tâche, huile, épices, ou substance sécrétée par un corps humain, mort ou vivant. Ceci a été vérifié par différentes techniques, rayons X, fluorescence, et micro-chimie. En revanche, les taches de sang sur le tissu sont positives à l'hémoglobine, au groupe sanguin AB. C’est le même groupe que pour les autres reliques christiques, à savoir le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil. En plus, il y a des traces de bilirubine dans les traces de sang identifiables sur le linceul : c'est une substance sécrétée par le foie en cas de stress intense, comme pourrait l’être un choc anaphylactique sous l'effet de la torture.

L’image sur le linceul est un négatif photographique du corps de Jésus Christ. C’est une image en 3D, dessinée par une très fine oxydation déshydratante acide des fibres de lin du linceul. Une oxydation très similaire a été obtenue en irradiant un tissu en lin avec un accélérateur à particules, qui a bombardé de protons le tissu. L'oxydation résulte du rayonnement protonique intense. La thèse pour expliquer la résurrection de Jésus à partir de cette expérience est la suivante : des protons auraient été extraits des atomes du corps de Jésus par une énergie phénoménale. Le linceul qui recouvrait Jésus aurait été bombardé de protons lors de la dématérialisation du corps de Jésus dans une sorte de flash de la résurrection.

L’histoire de l’étude scientifique du linceul commence en 1898. Cette année-là, Segundo Pia, un avocat qui s'intéresse à la photographie, qui était une innovation technologique à l’époque, est autorisé pour la toute première fois à photographier le linceul.

Le principe de la photographie consiste alors à recouvrir une plaque de verre par des cristaux de chlorure d'argent. Ensuite, la plaque est baignée dans un bain révélateur acide. Après le bain, seuls restent les cristaux qui ont durci et pris une teinte plus ou moins sombre, en fonction du volume de lumière reçu. On obtient alors un négatif de l’image originale, c’est-à-dire une inversion entre ombre et lumière de la photo par rapport à l’image originale.

Quand Segundo Pia se met à traiter les plaques pour révéler l'image, il ne connaît du linceul qu’une image pas très nette, comme si l'eau et le sang qui avaient marqué l’image s'étaient diffusés par capillarité dans les fibres. Segundo tient dans ses mains une plaque sur laquelle il avait fait un plan resserré juste sur le visage de l'homme du linceul. En quelques minutes, la matière se fixe et il voit devant lui une image qui est beaucoup plus nette, plus précise, avec beaucoup plus de détails. Segundo est alors bouleversé parce qu’il réalise qu'il est le premier homme depuis presque 2000 ans à voir le visage du Christ !

L’image a depuis été étudiée par des centaines et des centaines de scientifiques, dont les études confirment le caractère extraordinaire et inexplicable de l’image sur le linceul. On peut difficilement imaginer une corruption de tous ces scientifiques car certains d’entre eux étaient les seuls spécialistes (ou presque) de leur discipline. C’était notamment le cas du scientifique qui a fait passer le linceul dans l’unique machine de la Nasa capable de reconstituer une image en 3 dimensions.

Quelle est la probabilité pour que l’énigme du linceul de Turin soit une supercherie ? Quelle serait la chance pour que l’Eglise catholique « contrôle » depuis plus d’un siècle toutes les équipes de scientifiques pointus qui se sont penchées sur le linceul et les obligent à falsifier leurs rapports pour faire croire à un miracle ? Il n’y a aucune chance bien sûr et nous sommes bien là en présence d’un miracle, qu’on pourrait qualifier de « définitif » pour prouver la divinité de Jésus Christ.

Le linceul de Turin est la preuve de sa divinité que Jésus Christ a voulu léguer aux sociétés modernes déchristianisées. L’histoire de Segundo Pia s’est passée au moment où des esprits forts imposaient dans les pays occidentaux des sciences et des philosophies athées. Elle s’est passée à une époque où Nietzsche pouvait écrire : « Dieu est mort ». Aujourd’hui, la science est en train de réhabiliter en quelque sorte l’existence de Dieu. A travers les connaissances sur la naissance de l’univers, sur la génétique, sur la remise en question de la théorie de l’évolution. Ou bien encore par l’étude des miracles liés aux apparitions de la Vierge Marie, traités dans une autre vidéo de cette série « connaître Dieu ».

C’est comme si Dieu disait aux hommes : « A mesure que vos connaissances scientifiques et techniques ont progressé, vous avez cru pouvoir vous diriger par vous-mêmes. Vous avez cru pouvoir accéder à la connaissance sans Dieu. Mais votre orgueil a construit des tours de Babel sur du sable. Je vous prépare à en prendre conscience par ces révélations de la science juste avant mon retour dans la gloire ».

En complément :

Le Saint-Suaire de Turin - L'enquête inédite de Jean-Christian Petitfils, historien

https://www.youtube.com/watch?v=95k0MP4ZUcI

 

 

 

 

 

Linceul turin 2

Date de dernière mise à jour : 20/02/2025

Ajouter un commentaire

Anti-spam