Le troisième secret de Fatima et la fin des temps

Le troisième secret de Fatima et la prophétie de la Grande Apostasie, événement déclencheur de l’Apocalypse 

Sur la chaîne Youtube « La Grande Mission avec Marie », voir la playlist « LE « VRAI » TROISIEME SECRET DE FATIMA » (4 vidéos).

Quel est le célèbre et sulfureux troisième secret révélé par la Sainte Vierge lors de son apparition à Fatima au Portugal en 1917 ?  Pourquoi tous les papes qui se sont succédé ont-ils obstinément refusé de le révéler ? Y compris le pape Jean-Paul 2, dont la « version » du secret enfin dévoilée en l’an 2000 est très peu convaincante. Même si la réponse à cette question va prendre un peu de temps, on peut faire cesser le suspense tout de suite. Le troisième secret de Fatima révèle, entre autres, que des loups déguisés en brebis infiltreront le Vatican, ce qui évidemment est un peu gênant à confesser pour le Vatican.

D’autres éléments connus du troisième secret de Fatima, et aussi le contexte de sa révélation, pointent clairement vers la période de la fin des temps, appelée plus souvent apocalypse. Loin de la redouter, nous devons au contraire nous réjouir du retour de Jésus Christ qu’elle annonce. Et aussi nous demander quel sera le rôle et le sort des chrétiens qui vivront ces temps extraordinaires.

Lors des célèbres apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal en 1917, connues notamment pour le miracle de « la danse du soleil » qui s’est produit devant plusieurs dizaines de milliers de témoins, la Vierge Marie a révélé aux 3 enfants voyants de ses apparitions, trois secrets qui forment une seule et même révélation.  Cette révélation était accompagnée de demandes de prières, principalement de la prière quotidienne du chapelet.

Le premier de ces secrets était la vision de l’Enfer et des peines réservées aux damnés, accompagné d’une demande de prière pour la conversion des pécheurs.

Le deuxième secret était l’annonce de la fin prochaine de la première guerre mondiale, de l’avènement de la seconde guerre mondiale sous le règne du pape Pie 11, et des persécutions des chrétiens par la Russie communiste. Ces malheurs pouvaient être évités si les hommes écoutaient les demandes de Notre Dame, et si le pape et les évêques du monde consacraient la Russie à son Cœur Immaculé. Malheureusement, ces demandes ne furent pas écoutées et on connaît la suite des événements.

Le troisième secret de Fatima est ce qui nous intéresse particulièrement ici. Il est lié aux prophéties sur la Grande Apostasie, dans l’Eglise catholique. Par l’expression Grande Apostasie, il faut comprendre un reniement massif de la foi catholique dans les sociétés historiquement chrétiennes. Cette Grande Apostasie doit être l’événement déclencheur de la venue de l’Antéchrist et de l’Apocalypse dans la tradition chrétienne. L’Apocalypse se termine par le retour de Jésus Christ, qui annonce lui-même l’apostasie dans Luc 18 : 8 : « Quand je reviendrai, trouverai-je encore la foi ? ». Le livre de l’Apocalypse de Saint Jean comprend le jugement de Jésus Christ sur les différents types de chrétiens à travers l’histoire. Aux chrétiens bien aimés de l’Eglise de Philadelphie, il promet de les préserver à l’heure de la Grande Tentation qui mettra le monde à l’épreuve.

C’est ce thème qui nous préoccupe ici, afin d’interpeller et d’appeler chacun à devenir l’un de ces chrétiens bien aimés. En respectant les commandements de Dieu, en nous remettant complètement à lui et à la sainte Vierge Marie, nous pouvons nous protéger nous-mêmes sans doute, adoucir les épreuves pour l’ensemble de l’humanité sans doute.

Le but ici n’est pas d’entrer dans le détail des débats complexes sur la doctrine de l’Eglise catholique après le controversé concile Vatican 2. Il s’agit surtout de démontrer que la prophétie sur la Grande Apostasie est en train de se réaliser, et d’en juger les conséquences. L’Apostasie avait été annoncée par l’apôtre Saint-Paul dans sa deuxième lettre aux Thessaloniciens (2 Thessaloniciens 2 :1-3) :

« Ne laissez personne vous égarer d’aucune manière. Car il faut que vienne d’abord l’apostasie, et que se révèle l’Homme de l’impiété, le fils de perdition, celui qui s’oppose, et qui s’élève contre tout ce que l’on nomme Dieu ou que l’on vénère, et qui va jusqu’à siéger dans le temple de Dieu en se faisant passer lui-même pour Dieu. Car le mystère d’iniquité est déjà à l’œuvre ; il suffit que soit écarté celui qui le retient à présent. Alors sera révélé l’Impie, que le Seigneur Jésus supprimera par le souffle de sa bouche et fera disparaître par la manifestation de sa venue. »

Le mystère d’iniquité est le travail de destruction de l’œuvre de Dieu sur terre par Satan. Pour le seconder, Satan choisit des hommes qui deviennent des Antéchrists de l’histoire (Hitler et Staline, par exemple, pour l’histoire récente), et qui s’appuient eux-mêmes sur un ensemble de forces politiques, économiques, et idéologiques, pour saper l’union entre Dieu et les hommes. Les forces anti-chrétiennes agissent dans l’histoire des hommes comme des motifs qui se répètent régulièrement. Elles doivent se répéter jusqu’à ce que le paroxysme soit atteint et déclenche le retour de Jésus Christ, qu’on appelle la Parousie.

Nous avons tout intérêt à apprendre à connaître ce qui retient l’Antéchrist, et ce qui le révèle au monde : un chrétien averti en vaut deux.

Le troisième secret de Fatima dénonce sans doute l’apostasie au sein même du Vatican, infiltré par la franc-maçonnerie.

Le troisième secret de Fatima, est une intrigue captivante, en plus d’être un message pour le salut des hommes. On sait que les papes ont refusé catégoriquement de le dévoiler, alors que Notre Dame avait fixé la date butoir de 1960 pour le révéler. Le secret est censé avoir été complètement révélé en l’an 2000 par Jean Paul 2. Il se résumerait à une vision d’apocalypse où des hommes, figurant apparemment le pape, des évêques et des laïcs, se font assassiner par des soldats dans une ville en ruines. La vision n’aurait été accompagnée d’aucun message ou demande plus explicites de la part de Notre Dame, alors que ses deux autres révélations étaient claires et concrètes. Le Vatican affirme que le troisième secret prédisait l’attentat qui a blessé Jean-Paul 2 en 1981, et donc que le message du secret est caduc depuis cette date. Comme si Notre Dame avait fait danser le soleil devant 70 000 personnes juste pour avertir que Jean Paul 2 allait passer quelques jours à l’hôpital en 1981 ! Et pourquoi fixer la date butoir de 1960 pour révéler un événement qui s’est produit en 1981 ? Par ailleurs, cette version « rassurante » du secret n’a rien à voir avec les confidences privées que Jean Paul 2 a faites par ailleurs.

Tout cela n’est pas crédible. Manifestement, la Vierge Marie a révélé un secret très gênant pour le Vatican. Le secret devait être révélé au plus tard en 1960, ou à la date de la mort de la voyante Sœur Lucie, si celle-ci devait décéder avant 1960. Sœur Lucie est l’une des 3 voyants de l’apparition de Fatima, et elle était âgée de 10 ans à l’époque des faits. Une fois adulte, elle deviendra religieuse carmélite, cloîtrée dans un couvent au Portugal où elle aura de nouveau des visions de Notre Dame et de l’Enfant Jésus. Elle rédigera et cachètera le troisième secret à une époque où elle était gravement malade et avait frôlé, puis elle écrira ses mémoires.

La date butoir de 1960 est emblématique car à cette date commencent les travaux préparatoires du concile Vatican 2 qui est unanimement considéré comme le 1789 de l’Eglise catholique. C’est un concile qui va révolutionner l’Eglise catholique, pour ses orientations théologiques, son rapprochement avec les autres religions, et la nouvelle messe qu’il va instaurer. Immédiatement rejeté par les catholiques traditionnalistes, et encore vivement contesté à ce jour, le concile se terminera fin décembre 1965. Il sera suivi d’une chute brutale, spectaculaire, inédite, et même inexplicable de la foi catholique ! Les prêtres se défroquent en masse et les chrétiens cessent du jour au lendemain d’aller à la messe. C’est comme si l’Esprit Saint s’était soudain retiré du monde.

Mais cette déchristianisation brutale de la société et le secret de Notre Dame sont-ils liés au contenu théologique lui-même du concile Vatican 2, ou bien aux personnes qui ont pris le pouvoir au Vatican et impulsé les travaux du concile ? Ou bien aux deux ?

L’infiltration de la curie romaine par la franc-maçonnerie, et l’influence de l’Eglise Anglicane sur la nouvelle messe, ont souvent été dénoncées. Parmi les dénonciations, on peut citer celle du journaliste Mino Pecorelli, patron de l’agence de presse Osservatorio Politico. En 1978, il publia une liste de 121 francs-maçons au Vatican, comportant un bon nombre de cardinaux, évêques et prélats de haut rang. Et cela, bien que la franc-maçonnerie soit officiellement condamnée par l’Eglise catholique depuis le 19ième siècle, pour la raison simple que l’un des buts premiers de la franc maçonnerie est la destruction du catholicisme. Dans cette liste de francs-maçons, il y avait Monseigneur l’Archevêque Annibale Bugnini, l’artisan de la messe Paul 6 ! Il aura été dans sa carrière ecclésiastique secrétaire de la Commission préparatoire du concile Vatican II pour la liturgie, puis secrétaire de la Commission pour l’application de la Constitution sur la sainte liturgie ; puis, secrétaire de la sacrée Congrégation pour le culte divin. Finalement, le pape Paul 6 sera obligé de l’écarter du Vatican parce qu’un prêtre romain, qui avait des témoignages sur l’appartenance de Bugnini à la franc-maçonnerie, menaçait de les rendre publics, si aucune mesure contre Bugnini n’était prise.

Quant à Mino Pecorelli, il sera assassiné par balles 6 mois après la publication de la liste de francs-maçons. Les principaux accusés de son assassinat seront condamnés par la justice, puis graciés par une cour de cassation.

Les élites franc-maçonnes et protestantes ne rêvent que d’une chose depuis leur création, [et on parle bien uniquement des élites bien sûr, pas de la masse des adeptes sincères], c’est de détruire le catholicisme. Leur infiltration au sommet de la hiérarchie de l’Eglise catholique, est évidemment un sérieux problème.

Au mystère du sulfureux troisième secret de Fatima, s’ajoute même celui d’une intrigue policière. Un collectif milite depuis des décennies pour la reconnaissance de la disparition de Lucie Dos Santos vers 1959. Ce collectif pense qu’elle a été assassinée et remplacée par un sosie !

Ceux qui propagent la thèse d’un assassinat de Lucie Dos Santos prétendent qu’à partir de 1960, date fatidique à laquelle le troisième secret devait être révélé au monde entier, Sœur Lucie devient inaccessible aux visites. En particulier aux visites de son confesseur de toujours depuis qu’elle est entrée dans les ordres. Photos à l’appui, ils affirment que l’apparence de Sœur Lucie après 1960 montrerait des différences frappantes avec celle d’avant les années 60 : pas la même forme de menton ni la même dentition, des fossettes chez l’une et pas chez l’autre, un sourire en U inversé chez l’une, et pas chez l’autre, une Sœur qui fait nettement plus jeune dans les années 60 que dans les années 40. L’objet de ce texte n'est pas de faire une enquête sur le sort de Sœur Lucie. Mais les tenants de la thèse de son remplacement par un sosie ont au moins un argument objectif pour eux : officiellement Sœur Lucie est décédée à 98 ans, ce qui ne correspond pas du tout à l’espérance de vie d’une femme née dans un milieu social modeste au Portugal en 1907. « L’énigme » du sosie de Lucie Dos Santos, ajoute encore au parfum sulfureux du troisième secret de Fatima.

Le concile Vatican 2, ce coup de boutoir qui ébranle et fissure l’Eglise de Jésus Christ

Le concile Vatican 2 a fait l’objet de controverses violentes, qui ont déchiré l’Eglise catholique au moment de son adoption, et continue encore aujourd’hui à cliver les catholiques.

Le concile Vatican 2 a été présenté comme le 1789 de l’Eglise catholique, c’est-à-dire comme révolutionnaire. Bien que les gens malintentionnés au sein de la curie n’aient bien évidemment pas pu imposer franchement des hérésies, parce que cela aurait été trop visible, le concile a été la source de nombreuses protestations au sein de l’Eglise, parmi les partisans du maintien des traditions.

Il n’est pas difficile de trouver sur internet les reproches qui lui sont faits par les « traditionnalistes » ou par les « sédévacantistes », ces catholiques qui pensent que depuis Vatican 2, il n’y a plus de vrais papes ni même de vrais prêtres, c’est-à-dire pratiquant des sacrements valides. Mais pour tous ceux qui se tiennent loin de ces controverses, on peut donner un rapide aperçu des critiques, justifiées, faites à Vatican 2. On peut penser que les tares de Vatican 2 ont provoqué dans une certaine mesure un retrait de l’Esprit Saint et une éclipse de l’Eglise. Ce qui est reproché à Vatican 2, en résumé et premièrement, c’est d’avoir renoncé à affirmer haut et fort l’identité de l’Eglise catholique comme moyen de connaître réellement Dieu, ses commandements, et les voies qu’il a enseignées pour gagner son salut, c’est-à-dire pour aller au paradis. Et de s’être un peu effacée face à la laïcité d’Etat, mais aussi dans le dialogue avec les autres religions par l’œcuménisme tel qu’il a été pratiqué ; et enfin, en se coulant dans les mœurs modernes plus ou moins permissives postérieures à mai 68.

Cet effacement s’est traduit par l’acceptation de la notion de liberté religieuse, pourtant condamnée auparavant par les papes. Il ne s’agit pas bien sûr de condamner la tolérance religieuse en tant que refus d’imposer la foi catholique par la contrainte, au détriment de la liberté de conscience des individus. Ce qui pose problème, c’est de dissoudre la foi catholique dans la laïcité d’Etat.

C’est-à-dire d’accepter qu’un Etat laïque enseigne, diffuse massivement le scepticisme religieux. Que cet Etat garantisse aussi la liberté de manifester publiquement sa religion quelle qu’elle soit, en étant indifférent à la vérité ou à la fausseté de la religion. Tolérer l’hérésie pour éviter des conflits violents est une chose ; encourager le droit à diffuser publiquement son hérésie en est une autre. En sortant du dogme « hors de l’Eglise, point de salut », on tolère l’idée que le plus grand nombre sera trompé par de fausses doctrines, compromettant le salut de son âme. Le principe de la liberté religieuse implique la négation de l’union entre l’Église et l’Etat, et donc la négation de la royauté sociale de Jésus Christ.

 Deuxièmement, ce qui est reproché à Vatican 2, c’est d’avoir modifié des sacrements, notamment ce rite crucial qu’est l’ordination des évêques, puisque ce sont eux qui sont en charge de l’ordination des prêtres.

Si la consécration des évêques est douteuse, alors tous les sacrements donnés par les prêtres consacrés par ces mêmes évêques, peuvent aussi être douteux : en clair, le pouvoir spirituel donné par Dieu aux prêtres peut être affaibli dans une mesure qu’on ne connaît pas.

Troisièmement et surtout, ce qui est reproché à Vatican 2, c’est d’avoir ouvert la voie à la réforme liturgique qui a suivi le concile, c’est-à-dire à la nouvelle messe, dite messe Paul 6.

II est reprochée à cette messe de trahir la messe héritée des apôtres de Jésus ; il lui est reprochée d’être trop centrée sur les fidèles plutôt que sur Dieu, et d’avoir supprimé certaines marques de respect à Dieu et de conscience de nos péchés. On reproche à Paul 6 d’avoir écrit que la messe était une assemblée de fidèles, alors que la messe n’est pas une cérémonie centrée sur les hommes, mais sur Jésus. Elle est la perpétuation du sacrifice sur la croix pour le pardon des péchés des hommes : sans messe, la nouvelle alliance avec Dieu par Jésus Christ ne tient plus. On reproche à la messe Paul 6 de s’être calquée sur la messe anglicane sous l’influence des protestants. Et ceci alors même que celui qui a déchiré l’Eglise en fondant le protestantisme, Martin Luther, avait dès le début fixé comme objectif de détruire la Papauté en s’attaquant à la messe.

Mais avec sournoiserie bien sûr, en conservant une partie de la tradition, pour ne pas provoquer d’emblée trop d’opposition. Vatican 2 a entraîné une forme de désacralisation de la messe, en lui retirant de la solennité et du recueillement.

La nouvelle messe controversée suit la conclusion de Vatican 2, mais avant cela, l’ouverture et le déroulement du concile sont tout aussi controversés.

Des historiens du concile disent qu’au début, la curie vaticane a cherché à forcer la main des évêques pour faire passer rapidement les réformes qu’elle voulait. Mais les évêques ne se sont pas laissé faire, et les travaux du concile ont duré 3 ans, de 1962 à 1965, avec des sessions de travail de 2/3 mois, entrecoupées de moment où la curie cherchait à reprendre le contrôle.

Certains ne reprochent pas tant le contenu théologique en lui-même du concile Vatican 2 que son exploitation malveillante.

Ils pensent surtout que le concile a servi de prétexte dans les années qui ont suivi son adoption à une sorte de fièvre révolutionnaire soixante-huitarde qui a malmené l’enseignement traditionnel autant que la liturgie de la messe. Cette fièvre se serait accompagnée alors d’une chasse aux sorcières menée ou couverte par la hiérarchie de l’Eglise envers tous les traditionnalistes, qu’ils soient prêtres, ou bien laïcs engagés. De nombreux prêtres ont quitté cette Eglise qu’ils ne reconnaissaient plus après le concile ; d’autres prêtres l’ont quittée dans le mouvement général de déchristianisation de l’époque. L’espèce de fièvre révolutionnaire de la société hédoniste de mai 68 a agi comme un révélateur de leur manque de vocation. Avant la déchristianisation massive, beaucoup d’hommes s’étaient engagés dans la prêtrise pour la considération sociale accordée au statut de prêtre, mais ils n’avaient pas vraiment la vocation. L’Eglise d’avant le concile Vatican 2 ressemblait peut-être encore à certains égards à l’Eglise du 19ème siècle, souvent dénoncée, notamment dans la littérature de la même époque, comme une institution peuplée d’hypocrites et d’arrivistes.

Cette Eglise du 19ième siècle serait-elle l’Eglise de Sardes décrite dans l’apocalypse de Saint Jean ? Il s’agit d’une Eglise dont Dieu reconnaît qu’elle comporte des membres « purs », qui sont peut-être les prêtres qui ont participé au grand élan missionnaire du 19ième siècle. Mais d’autres membres de cette Eglise ont oublié la parole de Jésus, qui les menace : « Si tu ne restes pas vigilant, je viendrai comme un voleur, sans que tu saches à quelle heure je viendrai te surprendre ». La déchristianisation soudaine et massive en Europe a-t-elle été la réalisation de cette prophétie ? En tout cas, la Grande Apostasie dans l’Eglise a bien été prophétisée au 19ème siècle par le Pape Léon 13.

La vision prophétique du Pape Léon 13 sur la destruction de l’Eglise par Satan 

Le 13 octobre 1884, le Pape Léon 13 a une vision à la fin de la messe qui se déroule au sein de la chapelle vaticane. Alors qu’il termine la célébration de la messe, il s’arrête au pied de l’autel, son visage se fige soudain et semble comme en extase. L’extase dure environ 10 minutes, à la grande perplexité des cardinaux et autres personnes présentes dans la chapelle. Puis, allant immédiatement de la chapelle à son bureau, il compose une prière à saint Michel, avec instruction qu'elle soit récitée partout après chaque messe. Cette prière est la suivante :

“Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat ; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous en supplions. Et vous, prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen.”

Cette prière de défense contre le démon sera supprimée lors de la réforme liturgique de 1964, suite au concile Vatican 2.

Lorsqu'on demanda à Léon 13 ce qui était arrivé, il expliqua qu'au moment où il s'apprêtait à quitter le pied de l'autel, il entendit soudainement deux voix : l'une douce et bonne, l'autre gutturale et dure : il semblait qu'elles venaient d'à-côté du tabernacle. Dans ce dialogue, Satan affirma avec arrogance pouvoir détruire l'Eglise, mais pour cela il demandait plus de temps et plus de puissance. Dieu accepta sa requête et lui demanda de combien de temps et de combien de puissance il avait besoin. Satan répondit qu'il avait besoin de 75 à 100 ans, et d'un plus grand pouvoir sur ceux qui avaient été mis à son service. D’après le pape Léon 13, Dieu accorda à Satan le temps et l'énergie demandés, en lui donnant toute liberté d'en disposer comme il le voulait.

Puis, Léon XIII eut une vision terrible : « j'ai vu la terre enveloppée dans les ténèbres et l'abîme, j'ai vu des légions de démons qui étaient dispersés à travers le monde pour détruire les œuvres de l'Eglise. Puis est apparu saint Michel Archange qui chassa les mauvais esprits dans l'abîme. »

Le délai de 75 ans annoncé lors de cette vision qui date de fin 1884, nous amène précisément à l’époque du concile Vatican 2.

Le concile avait été annoncé en janvier 1959 par celui qui venait d’être élu pape même pas 3 mois plus tôt, le pape Jean 23. Mais Vatican 2 n’a fait qu’ébranler l’édifice de l’Eglise, sans la détruire pour l’instant, et sans que l’antéchrist ne se soit déjà révélé. Mais la prochaine étape viendra peut-être avec l’aboutissement de la réforme commencée avec le synode sur la synodalité, annoncé à un moment comme un concile Vatican 3. A l’heure où cette vidéo est enregistrée, il n’est rien ressorti de spectaculaire de ce synode. Mais ce qui s’est terminé, ce sont juste les ateliers de réflexion, l’étape de la concertation au niveau de la base des prêtres et des fidèles. Et on sait ce que c’est la démocratie participative avec le monde politique. Une grande assemblée ecclésiale se tiendra à Rome en 2028.  Si juste à la fin de ce synode, il était imposé par une sorte de coup de force quelque chose qui déplaise vraiment à Dieu, tout pourrait basculer.

Cette hypothèse circule beaucoup dans le milieu qui s’intéresse aux prophéties chrétiennes, et notamment aux prophéties de Garabandal. Les jeunes voyants de l’apparition de la Sainte Vierge à Garabandal en Espagne, au début des années 60, avaient dit que d’après la sainte vierge, les temps de la fin se déclencheraient au retour d’un voyage du pape à Moscou. Mais aussi qu’ils arriveraient peu de temps après un synode.

On peut trouver sur internet des articles sur la prophétie de Garabandal annonçant l’apocalypse juste après un synode, qui sont antérieurs de plusieurs années à l’annonce de l’ambitieux synode sur la synodalité. Ce ne sont pas des partisans d’une fin des temps imminente, qui ont réécrit a posteriori les témoignages des voyants de Garabandal, pour les faire coller à l’actualité du Vatican.  Des synodes, il y en a régulièrement. Mais le synode sur la synodalité, est censé avoir une grande portée, puisqu’il touche à la gouvernance de l’Eglise. C’est-à-dire à l’intégrité de ce que Jésus Christ a fondé comme l’édifice du christianisme. L’édifice pourrait trembler ou s’effondrer si le synode se terminait par exemple par un grand schisme dans l’Eglise ; ou surtout, en retirant un pouvoir important aux représentants de Christ sur terre, à savoir le pape, les évêques, et les prêtres, pour donner le pouvoir aux laïcs. Cela voudrait dire alors que les hommes retirent à Dieu son pouvoir pour se conduire orgueilleusement eux-mêmes. Et on sait ce que cet orgueil a eu comme conséquences dramatiques pour l’humanité avec le péché originel. Les chrétiens risqueraient alors d’être livrés au pouvoir de Satan à cause du retrait du Saint Esprit. Et dans la période de la fin des temps, c’est-à-dire de l’apocalypse, il y aura une période de tribulation, c’est-à-dire d’épreuves, de 7 ans, pour les chrétiens.

Un autre sujet d’inquiétude est la nouvelle liturgie synodale. Elle pourrait servir de prétexte pour supprimer définitivement la messe traditionnelle. Aujourd’hui, des membres de la curie mettent la pression sur le pape pour qu’il le fasse. Ou alors, si le synode conduisait à modifier la messe moderne actuelle, la messe Paul 6, et que Dieu ne la considérait plus comme la perpétuation du sacrifice à la croix de son fils Jésus Christ pour le pardon des péchés des hommes, cela pourrait aussi libérer l’antéchrist.

Mais pourquoi Dieu accorde-t-il à Satan le temps et le pouvoir qu’il demande pour détruire l’Eglise ? Probablement parce que l’affaiblissement de l’Eglise par la grande Apostasie permet le retrait de l’Esprit Saint, qui lui-même permet à terme à l’Antéchrist de se manifester, avec le pouvoir de Satan. La lutte finale entre Jésus et Satan, et bien sûr la victoire de Jésus, permettra d’enchaîner Satan et ses démons. Ils seront alors sans pouvoir lors du millenium à venir, après avoir démontré à l’Humanité qu’elle ne pouvait pas se passer de Dieu sans aboutir à sa destruction.

La vision de Léon 13 a eu lieu un 13 octobre, tout comme l’une des apparitions de Notre Dame à Fatima au Portugal en 1917. C’est au cours de cette apparition du 13 octobre 1917 qu’a eu lieu le célèbre miracle de la danse du soleil, soit 33 ans exactement après la vision du pape Léon 13, dont le nom lui-même comporte encore le chiffre 13 hautement symbolique. Le nombre 33 est lui aussi hautement symbolique dans la bible puisque Jésus est mort à 33 ans, et que le Roi David a régné 33 ans sur Jérusalem, la cité qui abrite le temple de Dieu. Le nom du Pape lui-même comporte encore le nombre 13, hautement symbolique. En fait, la vision de Léon 13 se rattache au miracle de Notre Dame à Fatima par l’annonce du même événement : la grande Apostasie dans l’Eglise catholique.

Le vrai troisième secret de Fatima et la grande Apostasie au sommet de l’Eglise :

La déchristianisation massive de la société, à partir de la fin du 19ième siècle, et encore plus après mai 68, confirme la prophétie sur la Grande Apostasie comme signe annonciateur de la fin des temps dans la tradition chrétienne.

Le très contesté concile Vatican 2 pointe aussi vers cette Grande Apostasie, qui sera peut-être bien parachevée par le synode sur la synodalité.

Enfin, le refus de plusieurs papes de dévoiler le troisième secret de Fatima en osant mépriser la demande de Notre Dame, fait penser que ce secret annonçait la Grande Apostasie, non pas seulement dans la société, mais aussi au sein même du Vatican.

Une partie de ceux qui ont pu lire le troisième secret ou recueillir des informations sur le troisième secret, n’ont certes pas dévoilé le secret, puisqu’ils n’en ont pas le droit, mais ils ont confirmé que d’après le secret, la grande apostasie dans l’Eglise commencerait au sommet de l’Eglise, en lien avec les événements de l’Apocalypse.

Il y a eu beaucoup de désinformation et de pression autour des acteurs du troisième secret de Fatima, notamment autour de la voyante de l’apparition sœur Lucie Dos Santos, chargée de révélée le secret au moment voulu par Notre Dame. Il y a eu aussi des pressions autour des papes et cardinaux qui ont pu connaître le contenu du secret. Parmi les personnes qui ont fait des révélations sur le secret et qui sont crédibles, on peut citer Malachi Martin.

Malachi Martin était le secrétaire privé du puissant cardinal Bea à l’époque où le Pape Jean 23 a lu le 3ème secret. Prêtre, professeur et érudit bibliste, essayiste et romancier, il a aussi travaillé directement au cours de sa carrière pour les papes Jean 23 et Paul 6. Il est décédé en 1999 après avoir écrit plusieurs livres et animé plusieurs conférences, dont l’un des thèmes privilégiés était le 3ème secret de Fatima. Il a été le témoin et le rapporteur des révélations faites par Jean Paul 2 en cercle privé restreint. Sa parole est crédible parce que Malachi Martin avait obtenu du pape la possibilité de rester prêtre, tout en se dégageant de son vœu d’obéissance et de pauvreté. C’est un homme qui a tenu de hautes fonctions dans l’Eglise et a pu de cette manière accéder à des informations sensibles, mais qui ensuite a pu parler librement.

En résumé, Malachi Martin affirme que les papes ont en réalité très peu de pouvoir, et qu’ils sont complètement encadrés et étouffés par une sorte d’Etat profond de l’Eglise catholique. Selon lui, le pape Jean Paul 2 n’a pas fait exception à la règle et a été empêché par ce pouvoir profond de demander en 1989 aux évêques du monde entier, dans le cadre de la récitation du rosaire une fois par semaine, une intention de prière pour que le 3ème secret de Fatima ne soit pas mis en œuvre.

Bridé par le pouvoir profond du Vatican, craignant d’être assassiné et remplacé par un faux pape s’il se rebellait ouvertement (toujours selon Malachi Martin), Jean Paul 2 aurait dès lors renoncé à évoquer le troisième secret, sur lequel il avait auparavant fait des bribes de révélations à des évêques Allemands réunis dans la ville de Fulda en novembre 1980. Malachi Martin affirme avoir assisté à cet échange au cours duquel les évêques Allemands ont posé plusieurs questions sur le secret de Fatima au pape Jean Paul 2, qui aurait consenti à leur répondre, en termes prudents. Le témoignage de Malachi Martin est validé et complété par un article retraçant l’échange et paru peu de temps après dans le magazine d’une association allemande, appelée Stimme des Glaubens.

Selon Malachi Martin, le pape Jean Paul 2 aurait dit à l’assistance :

« Supposons que je vous dise que la Floride va être engloutie par les eaux. Qu'il y aura 3 jours de ténèbres. Et qu'une nation entière sera anéantie, complètement anéantie. Et que le soleil sera obscurci pendant 5 jours. Et que la majeure partie de la terre sera touchée par une épidémie qu'ils ne pourront ni guérir ni vivre avec. Et il a dit : supposons alors que tous les volcans inactifs se réveillent. Vous appelleriez ça sensationnel , alors quel est l'intérêt de vous le dire ? Aux évêques qui demandaient ce qu'il fallait faire, le pape répondit : dites le rosaire, c'est votre seule protection, dites-le tous les jours de votre vie. Aux évêques qui lui demandent pourquoi ils ne publient pas le secret maintenant, il répond : parce que cela donnerait aux Soviétiques un avantage sur l'Occident que nous ne pourrions pas contrer. »

Par Malachi Martin, nous savons que le troisième secret est aussi lié à un conflit avec la Russie, et il évoquera également en 1996 dans un livre l’implication de l’Ukraine :

« Très important ! Si on croit aux révélations de Notre Dame de Fatima, le salut du monde, la guérison de TOUS ses maux, commencera en Ukraine et en Russie. C’est pour cela que la Vierge avait tant parlé de la Russie, qui, la première, devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite au reste du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés. C’est un Message très mystérieux puisqu’on aurait pu croire que selon nous, Occidentaux, le salut du monde viendrait de l’Ouest. Mais non ! Selon Fatima, notre salut viendra de l’Est, et en particulier de la Russie et de l’Ukraine, ce qui est extraordinaire en soi. ». Malachi Martin a aussi révélé en 1997 que le signe de la Vierge dans le ciel qui annonce l’apocalypse, se produirait dans 10 ou 20 ans : il s’est effectivement produit en 2017. C’est ce que nous avons vu ailleurs, sur les prophéties et le calendrier de l’Apocalypse, avec le signe astronomique exceptionnel du 23 septembre 2017, qui a réalisé le signe décrit par l’apôtre Saint Jean dans le livre de l’Apocalypse.

La mort de Benoit 16 en 2023 marque-t-elle l’arrivée du cavalier blanc et l’ouverture des 7 sceaux de l’apocalypse ?

Les événements de l’Apocalypse commencent avec l’ouverture des 4 sceaux d’un livre par notre seigneur Jésus Christ. Chacun de ces 4 sceaux libère un cavalier qui amène des fléaux sur l’humanité. Le premier de ces cavaliers est un cavalier qui monte un cheval blanc, et qui vient « en vainqueur et pour remporter la victoire » selon le texte de Saint Jean. Ce cavalier fait penser au pape, tout simplement parce que l’habit du pape est blanc, et que la couleur blanche est un symbole de spiritualité. Mais aussi parce que dans sa deuxième lettre aux Thessaloniciens, au chapitre 2, versets 1 à 17, Saint Paul prévient que l’Antéchrist pourra surgir lorsque « ce qui le retient » et « celui qui le retient » seront écartés. « ce qui le retient » peut-être interprété comme le saint esprit, ou plus probablement comme l’Eglise catholique en tant qu’institution fondée par Jésus Christ ; l’Eglise comme la pierre fondatrice de la foi chrétienne. Et « Celui qui le retient » est généralement interprété comme étant le pape de cette Eglise, parce qu’il a été désigné par le Christ comme son représentant sur terre.

Si la charge de pape est abolie, les forces du mal sous l’autorité de Satan et de l’Antéchrist peuvent se déchaîner. Ce rôle du pape est inscrit dans la doctrine de l’Eglise depuis le concile Vatican 1 en 1870. C’est dans la constitution Pastor Aeternus que le dogme des perpétuels successeurs de Pierre a été affirmée de telle sorte que Pierre, le premier Pape de la chrétienté, aura des successeurs jusqu’à la fin des temps. Ou plus exactement, ce qui est affirmé dans Pastor Aeternus, mais qui est traduit comme la perpétuelle succession de Pierre jusqu’à la fin des temps, c’est la primauté juridictionnelle du pape sur l’Eglise de Dieu. Cette primauté lui a été donnée par Jésus Christ pour le salut éternel et le bien perpétuel de l’Eglise. C’est la fonction de pape avec son autorité spirituelle pour la définition du salut qui est permanente. L’Eglise a déjà connu une quarantaine d’antipapes dans son histoire, c’est-à-dire des papes dont elle a renié la charge a posteriori parce qu’elle considérait que leur élection avait été irrégulière. C’est le cas en particulier des papes qui ont régné à Avignon en rivalité avec ceux de Rome pendant le grand schisme d’occident. Mais dans ces cas d’élections contestées, ce qui était en jeu, c’étaient uniquement des rivalités entre hommes, des rivalités entre les prétendants à la fonction de pape, et des rivalités entre les rois qui les soutenaient. Il n’y a pas eu de fin des temps pendant ces périodes de règnes d’antipapes, parce que la fonction papale et son autorité spirituelle pour servir de rempart contre les hérésies n'étaient pas remises en question. C’est pourquoi la fin des temps ne s’est pas produite.

Mais le cas de la démission de Benoit 16 est particulier, comme nous allons le démontrer. Si Benoit 16 a démissionné, c’est à cause de la pression exercée au sein du Vatican et en lien avec des dirigeants politiques de la franc maçonnerie. La démission de Benoît 16 est l’aboutissement d’un travail de destruction de plus long terme de la franc maçonnerie, de nature sataniste et bien évidemment ennemie farouche du catholicisme dans les hauts grades. C’est parce que la franc maçonnerie a sapé de l’intérieur les fondations de l’Eglise catholique que nous pouvons dire que c’est un signe de la fin des temps. La mort de Benoît 16, le dernier pape légitimement élu, est alors la fin de ce processus et le déclencheur de l’étape suivante, le retrait de l’Esprit Saint permettant la venue de l’Antéchrist pour la fin des temps.

Nous pensons ici que le dernier Pape légitime, tant qu’il était vivant, était Benoît 16, car il est le dernier Pape légitimement élu, et sa démission n’était pas valable, car elle lui a été imposée, et qu’il a fait en sorte que sa renonciation ne soit pas conforme au droit canonique. Benoît 16 s’était retrouvé dans la position de pape empêché d’exercer son ministère, car sa démission était forcée. Elle avait été provoquée par un coup de force politique, décidé par les Démocrates américains, exécuté par l’Union européenne, et préparé dès l’époque du pape Jean-Paul 2 par la franc maçonnerie vaticane. Ce coup d’état au Vatican était destiné à remplacer Benoît 16 par un pape plus « progressiste ». Il est incontestable, prouvé par des sources de médias parfaitement officiels, que Benoît 16 vivait sous une forte pression au moment de sa démission. Environ un an avant, le scandale des VatiLeaks commençait à éclabousser le Vatican. Les VatiLeaks sont une série de fuites de documents officiels opérée par le majordome du pape, qui révélait des affaires de corruption et de favoritisme dans la cité. Selon l’enquête d’un journal italien, les VatiLeaks révélaient aussi une affaire de chantage d’une sorte de lobby gay envers des prêtres et des laïcs de la cité. Mais surtout, seulement un mois avant l’annonce de sa renonciation par Benoît 16 le 11 février 2013, l’accès au système bancaire Swift de la banque du Vatican avait été bloqué. Le prétexte était que le Saint-Siège n’aurait pas appliqué les règles de bonnes pratiques de l’Union européenne en matière de lutte contre le blanchiment d'argent. Sur demande de la commission européenne, la Banque d'Italie avait ordonné à la filiale italienne de la Deutsche Bank, qui gère les paiements par carte du Vatican, de désactiver les terminaux de paiement installés sur le territoire du Saint Siège. Il était devenu impossible de payer par carte bancaire dans la cité du Vatican en janvier 2013.

Juste après cette situation intenable, Benoît 16 a alors démissionné, officiellement parce qu’il ne supportait plus les migraines qui altéraient sa santé. Mais comment une démission forcée pourrait-elle être valable aux yeux de Dieu ? Pour que la renonciation à sa charge soit valide, un pape doit la prononcer conformément au code de droit canon (canon 332, paragraphe 2). Il doit exprimer explicitement par écrit et en latin, qu’il renonce spécifiquement au fait d’être pape, à la charge papale (le munus petrinien en latin), et pas seulement au ministère (le ministerium). Or, Benoît 16 n’a pas dit qu’il renonçait à la charge papale. Il n’a même pas dit qu’il renonçait librement au ministère, il a juste annoncé qu’à partir du 1er mars 2013, le ministère lui serait ôté. Ce qui ressemble plus à une déclaration de siège empêché qu’à une renonciation consentie.       

La distinction entre charge papale et ministère papal, dans laquelle s’est engouffrée Benoît 16 pour invalider aux yeux de Dieu sa renonciation, avait été introduite en 1983 par le pape Jean Paul 2. Il l’avait faite précisément pour se protéger, lui et ses successeurs, contre une démission forcée ; et il l’avait faite la même année où il avait reçu un rapport sur l’infiltration de la franc maçonnerie au Vatican, au terme du longue enquête. Cette enquête avait été commandée dans les dernières années du règne du pape Paul 6 dans les années 70 à l’évêque Stéphane Gagnon. Des informations sur cette enquête avaient été divulguées par un proche de l’auteur de ce rapport, l’évêque Don Charles T. Murr, dans un livre intitulé « l’enquête Gagnon ». Le livre révélait notamment que parmi les francs-maçons au sein de la curie, comptait un cardinal, qui était aussi préfet de la congrégation des évêques, et à ce titre, jouait un rôle influent dans la nomination des cardinaux. Un autre franc maçon était le cardinal qui avait été l’architecte de la révolution liturgique du concile Vatican 2. L’infiltration de la franc maçonnerie au Vatican n’était donc pas un phénomène marginal et sans conséquence.

En conclusion, l’élection du pape François en 2013 était invalide et le dernier pape légitime était Benoît 16. Or, Benoît 16 est décédé le 31 décembre 2022, et ses funérailles ont eu lieu le 5 janvier 2023.

Le pape illégitime François fait donc penser au cavalier sur le cheval blanc dans l’Apocalypse. Il aurait été libéré à partir de la mort de Benoît 16. Peu importe qu’on apprécie ou pas le pape François ; ce qui compte, c’est l’intégrité de la fonction papale.

Pour l’anecdote, l’élection du Pape François a eu lieu le 13 mars 2013 : encore un jour commençant par 13 ! Le somme des chiffres de la date du 13 mars 2013 (13/03/2013) d’ailleurs vaut 13 (1+3+0+3+2+0+1+3). Encore un signe de mauvais augure !

En plus, le Pape François est le 6ième pape en exercice depuis la préparation du très controversé Concile Vatican 2 (avant lui, il y a eu Jean 23, Paul 6, Jean-Paul 1er, Jean-Paul 2 et Benoit 16). Le chiffre 6 symbolise l’homme, et le chiffre 7 symbolise la perfection divine : le 7ème pape symbolisera-t-il une ère nouvelle, un renouveau du christianisme ? Le 6ième pape ou cavalier blanc est-il le premier « 6 » du nombre 666 qui est la marque de la Bête dans l’Apocalypse, les deux autres 6 étant représentés par le faux prophète et l’Antéchrist ?

Les chrétiens à l’époque de l’Apocalypse : leur rôle et leur protection face à l’Antéchrist 

Dans l’Apocalypse de Saint Jean, l’ouverture du livre scellé par Jésus Christ et de ses sept sceaux marque l’entrée dans une période d’épreuves de l’humanité. Ces épreuves doivent se terminer par la Révélation du Seigneur. Mais avant cela, Jésus demande à Jean d’écrire à chacun des Anges des 7 Eglises de Dieu. Par l’intermédiaire de Jean, Jésus délivre son jugement à chacune des 7 Eglises, qui représentent tous les types de christianisme dans l’histoire de l’humanité. Jésus dit à Jean que ce qu’il va voir concerne à la fois le passé, le présent, et l’avenir. Ses termes exacts sont : « écris donc ce que tu as vu, ce qui est et ce qui doit arriver ensuite ». Les 7 Eglises symbolisent donc 7 types différents de sociétés chrétiennes ou de manières de vivre la foi chrétienne, qui ont existé dans le temps, et jusqu’à la période de l’Apocalypse.

Le type de christianisme associé à chaque Eglise semble caractériser de manière générale un territoire et une époque donnés. Mais il s’applique apparemment aussi à la manière individuelle de vivre sa foi. Car pour 5 des 7 Eglises décrites, Jésus donne un jugement général ; mais il pointe aussi des comportements déviants au sein de ces Eglises. Il précise qu’il punira ceux qui ont ces mauvais comportements ; il demande aux autres membres de se repentir, mais il ne leur dit pas qu’ils seront punis eux aussi.

Les deux dernières églises qui reçoivent une lettre sont l’Eglise de Philadelphie et l’Eglise de Laodicée. L’Eglise de Philadelphie ressemble au petit noyau de catholiques pratiquants qui respectent les commandements de Dieu, dans notre société actuelle largement déchristianisée. L’Eglise de Philadelphie a la faveur de Dieu, qui lui témoigne : « Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. »

L’Eglise de Philadelphie est celle qui aura su conserver la foi malgré les épreuves subies : « Parce que tu as gardé mon ordre de persévérer, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier pour mettre à l’épreuve les habitants de la terre. Je viens bientôt. Tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. Du vainqueur je ferai un pilier dans le temple de mon Dieu, et il n’en sortira plus jamais. » Manifestement, les chrétiens de l’Eglise de Philadelphie seront récompensés pour avoir résisté aux premières persécutions. Ils échapperont à la tentation de la marque de la Bête offerte par l’Antéchrist et au Jugement de Dieu qui s’abat sur les hommes.

Ce ne sera pas le cas de l’Eglise de Laodicée, qui semble représenter le chrétien d’aujourd’hui dans le monde occidental. C’est le chrétien qui a été baptisé, qui croit vaguement en Dieu, qui se revendique vaguement comme chrétien, mais qui ne va pas plus loin dans la foi. Il oublie son âme dans les richesses matérielles offertes par le monde moderne et sa société de consommation : « Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. […] tu dis : je suis riche, je me suis enrichi et je n’ai besoin de rien, et tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu… Je te conseille d'acheter…des vêtements blancs…ainsi qu’un remède à appliquer sur tes yeux afin que tu voies…. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône… ».

En fait, le jugement de Jésus sur ces chrétiens est sévère, puisqu’il leur dit quand même qu’ils sont malheureux, misérables, pauvres, aveugles et nus. Mais en même temps, il leur dit : « je châtie tous ceux que j’aime ». Pour moi, Jésus aime ces chrétiens « sur le papier », si je peux dire, parce que notre culture reste imprégnée des belles valeurs du christianisme, et que nos mœurs restent douces. Jésus offrira donc à ces chrétiens la possibilité d’ouvrir les yeux après avoir été aveuglés par la laïcisation de nos sociétés. La phrase « je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi » est très connue. Cette phrase est une reprise directe des paroles de Jésus dans les évangiles, et ne laisse aucun doute sur son interprétation. Cette phrase décrit comment se font les conversions et comment le saint esprit entre dans le cœur de celui qui saisit la perche tendue par Dieu à certains moments de sa vie. Quand celui-là fait dans son esprit un pas vers Dieu, reconnait son existence, ou cherche vraiment à le connaître et à l’aimer, alors le saint esprit entre en lui et lui donne la foi et l’amour. C’est le mécanisme de la conversion. Cette phrase dans l’apocalypse montre, selon moi, que jusqu’au bout le saint esprit essaiera de se faire connaître des inconvertis, même à un moment où l’antéchrist essaiera de manière autoritaire d’abolir la foi chrétienne. Et c’est peut-être l’un des sens de la parabole de l’ami importun dans l’évangile de Luc, l’ami importun étant le Saint-Esprit qui frappe à la porte de Jésus Christ. Dans le texte de l’apocalypse, les mots « Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône » signifient pour moi qu’il y aura une lutte pour ne pas céder à l’antéchrist et à la marque de la bête. Et que remporter cette lutte sera nécessaire pour aller au paradis avec Dieu, au lieu de se laisser emporter par la marque de la bête et aller en enfer.

Ces chrétiens qui doivent se repentir sont sans doute ceux qui subiront intégralement, pendant toute sa durée, la grande tribulation, c’est-à-dire la persécution, annoncée par l’ouverture du cinquième sceau dans le livre de l’Apocalypse. Est-il possible que les chrétiens soient traités différemment sur terre au moment des événements de l’Apocalypse ? Ces distinctions entre chrétiens dans les lettres aux 7 Eglises sont-elles liées à l’enlèvement des chrétiens, qui ne concernera pas tous les chrétiens, comme le prédisait la parabole des vierges folles et des vierges sages ?

En tout cas, comme à « tous ceux qui, depuis le début de l’humanité, avaient été mis à mort à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu’ils avaient rendu » (Ap 6.9) il sera donné aux chrétiens morts pendant la tribulation une robe blanche. Selon une certaine interprétation de l’Apocalypse, cette robe blanche symboliserait la résurrection des Justes annoncée dans l’Apocalypse et dans les lettres de Saint Paul.

D’après Saint-Paul (1 Thessaloniciens 4. 15-17), cette résurrection sera suivie de l’enlèvement des chrétiens :

« Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. ».

Saint-Paul précise, dans 1 Corinthiens 15, (versets 51à 57), que cet enlèvement aura lieu au son de la dernière trompette, donc la septième trompette de l’Apocalypse :

« Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d'œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. »

L’enlèvement des chrétiens n’aura donc lieu qu’au son de la dernière trompette, après que le monde aura subi les épreuves associées à l’ouverture des 7 sceaux et des 7 trompettes.

Au 7ième sceau, le front des serviteurs de Dieu sera marqué d’une empreinte destinée à les protéger du mal que feront à la terre, à la mer et aux arbres, quatre anges qui en ont reçu le pouvoir. La description de ces serviteurs est manifestement symbolique. Le texte parle de 144 000 juifs, venant des 12 tribus d’Israël, soit 12 000 juifs par tribu. Les 144 000 qui ont été « rachetés de la terre » sont « ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes » ; « ils sont vierges » et « il ne s’est pas trouvé de mensonge dans leur bouche, car ils sont irréprochables ». Ces 144 000 juifs représentent au minimum tous les juifs convertis au christianisme. D’après les prophéties bibliques que j’ai expliquées dans d’autres vidéos, et conformément à ce que dit la tradition chrétienne, la reconnaissance de Jésus par le peuple juif comme son messie déclenchera son retour sur terre. Pour ma part, je pense que cela veut dire que Jésus interviendra dans les conflits déchaînés par l’antéchrist après la reconnaissance des juifs, et qu’il provoquera la défaite de l’antéchrist. Et que nous saurons que cela vient de Jésus par un signe de la croix dans le ciel visible par tous et sans doute par d’autres miracles.

Dans les vidéos sur le calendrier de l’apocalypse, j’ai montré comment plusieurs événements récents concordaient avec plusieurs prophéties bibliques pour pointer vers un retour de Jésus Christ, et donc vers la conversion des juifs, pour 2030. Soit 2000 ans après le début du ministère de Jésus Christ, qui a duré 3 ans. Les événements de l’apocalypse se termineront complètement en 2033, soit 3 ans après que Dieu aura commencé à intervenir dans le cours des événements pour renverser l’antéchrist.

Mais quand on étudie le livre de l’Apocalypse, il paraît probable que les 144 000 juifs représentent aussi toutes les personnes justes et intègres qui n’auront pas accepté la marque de la Bête. Elles auront compris après les manifestations de Jésus Christ la vérité du christianisme et se convertiront aussi.

Avant l’ouverture de ce septième sceau et le marquage des serviteurs de Dieu, un grand tremblement de terre se produit, puis « le soleil devient noir ». La peur des hommes mauvais, ceux qui ont accepté la marque de la Bête, se manifeste, car ils comprennent que la colère de Dieu va s’abattre sur eux. Ce sixième sceau semble correspondre aux prophéties sur le grand Avertissement, révélé par Notre Dame lors de son apparition à Garabandal en Espagne, au début des années 60. D’après ces prophéties, Christ se révèlera à l’âme de chaque homme et lui montrera comment il voit son âme, lui laissant ainsi la possibilité de se repentir et de se convertir. Le choc de ce jugement sera si violent pour certains qu’ils ne pourront pas le supporter et en mourront, d’après les voyants de Garabandal. Cela ne peut que nous inciter à atteindre une pureté de l’âme digne du regard que posera sur nous notre créateur.

Si nous voulons espérer une protection en ces temps d’épreuves, nous devons suivre les commandements de Jésus et croire à la protection attachée à la prière du Rosaire. Notre Dame en a rappelé les promesses lors de toutes ses apparitions au 20ième siècle. Une promesse de protection qui, parmi bien des exemples, s’était réalisée de manière spectaculaire à Hiroshima et Nagasaki, villes japonaises victimes des bombes atomiques des 6 et 9 août 1945.

Des frères Jésuites à Hiroshima et Franciscains à Nagazaki, avaient été épargnés par les bombes alors que leurs couvents étaient situés à quelques mètres du point d’impact des bombes atomiques.

Gardons-nous toutefois d’être obsédés par les moyens d’obtenir une protection divine dans notre vie terrestre, quand la priorité de tout chrétien doit être de gagner son salut par la foi et par le respect des commandements de Dieu. Si les chrétiens doivent subir une persécution, prions pour qu’ils n’abjurent pas leur foi, et qu’ils se laissent fortifier par le Saint Esprit. Les récits de martyrs de chrétiens, comme avec la lapidation d’Etienne, aux temps des apôtres, ou celle des chrétiens jetés aux lions par les Romains un peu plus tard, montrent que les martyrs ont été soutenus pendant leur épreuve par le Saint Esprit. Ainsi, Etienne « avait le visage d’un ange » pendant qu’il se faisait lapider ; les chrétiens se jetaient sur les lions en chantant des cantiques, ce qui faisait souvent forte impression sur les Romains païens qui assistaient à leur martyr. Encore à notre époque, le martyr des 21 coptes Egyptiens, égorgés il y a quelques années par Daech, témoigne des signes miraculeux du Seigneur pour assister ceux qui sont prêts à mourir pour lui. Les familles de ces martyrs coptes, torturés pendant 45 jours par Daech pour qu’ils abjurent leur foi chrétienne, avant d’être exécutés sans avoir renié leur foi, ont témoigné du soutien rassurant sur le sort de leurs proches pendant leur captivité, qui leur était communiqué par Dieu pendant leurs prières. L’un des 21 martyrs était un Ghanéen, exécuté avec les 20 coptes Egyptiens, en clamant à sa dernière heure : « leur Dieu est mon Dieu ». Selon des témoignages reçus par les familles des victimes, ce Ghanéen aurait été le gardien des 20 prisonniers, et se serait converti en voyant leur foi et les signes miraculeux qui la soutenaient : terre qui tremblait, odeur d’encens qui se diffusait pendant les prières des prisonniers, lumière surnaturelle, etc…

Gardons foi en notre Seigneur Jésus Christ et, martyrs ou pas, efforçons-nous d’aplanir les chemins du Seigneur avant son retour. Tâchons de persévérer dans notre foi, de rendre témoignage de Jésus et d’alerter nos prochains sur la tentation de l’Antéchrist, afin de conserver notre « couronne de vainqueurs » comme l’écrit Jean.

Conclusion : l’Apocalypse et les péchés de l’occident chrétien

En conclusion de cette séquence sur le troisième secret de l’apparition de Notre Dame à Fatima, nous pouvons la replacer dans le cycle des apparitions mariales, qui a commencé à partir de 1830. Ce cycle coïncide avec l’apparition de plusieurs courants de pensées athées à cette époque, marquée par le progrès technique et l’essor du capitalisme industriel. Sans doute les apparitions mariales ont-elles eu pour objectif de prévenir nos sociétés de la nécessité pour elles de revenir à Dieu.

Ces courants de pensée sont, par exemple, le scientisme et le positivisme, la psychanalyse, le spiritisme, le marxisme, les philosophies athées de Nietzsche et Schopenhauer, et surtout, l’humanisme sans Dieu de la franc-maçonnerie. Lorsque nos sociétés se sont détournées de Dieu, alors elles se sont successivement livrées pour leur malheur à 7 péchés capitaux : le capitalisme brutal (l’avarice), le marxisme (l’envie), le nationalisme (l’orgueil), le nazisme (la colère), la société de consommation (la gourmandise), l’hédonisme de mai 68 (la luxure). Nous en sommes aujourd’hui apparemment au 7ème péché capital, c’est-à-dire la paresse, qui se traduit par une apathie générale de la société, une fatigue existentielle, et l’absence d’’engagement pour la collectivité. Le fait d’en arriver au septième et dernier péché laisse penser, avec bien d’autres raisons et des prophéties, que nous sommes arrivés aux temps de la fin qui précèdent le retour de Jésus.

L’exil des juifs à Babylone, punis par Dieu parce qu’ils l’avaient délaissé pour se livrer à des cultes païens avec toute l’immoralité qui allait de pair, a duré 70 ans. Cette durée de l’exil des Juifs sera-t-elle la même que celle de l’Eglise catholique, éclipsée depuis 1960 ? Si c’est le cas, alors cela signifie que la renaissance de l’Eglise aura lieu vers 2030, après et grâce au retour de Christ.

Liens :

Franc-maçonnerie et Vatican :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mino_Pecorelli

https://laportelatine.org/formation/histoire/franc-maconnerie/fideliter-199-des-francs-macons-au-vatican-par-arnaud-de-lassus

Adrien Abauzit | Fatima : vraie et fausse Sœur Lucie, vrai et faux 3ème secret :

(Voir notamment à partir de la 18ième minute).

https://www.youtube.com/watch?v=rG38PKBFO3U

Critiques plus complètes sur la messe Paul 6 :

https://www.youtube.com/watch?v=w7vJl7M3zro

Liturgie 26 : Le Concile Vatican II : des questions et des problèmes (1962-1965)

https://www.youtube.com/watch?v=M5bwZflUuvk&list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI&index=27

La vision du Pape Léon 13 :

https://www.mariedenazareth.com/encyclopedie-mariale/la-vierge-marie-remplit-le-monde-sanctuaires-marials/europe/portugal/notre-dame-de-fatima-ou-n-d-du-rosaire/de-leon-xiii13-octobre-1884-a-fatima-13-octobre-1917

Les révélations sur le 3ème secret de Fatima par Jean Paul 2, rapportées par Malachi Martin dans une conférence à Détroit en novembre 1980 :

https://www.youtube.com/watch?v=DtqkQR5GLng

-A la 11ème minute : sur l’infiltration de Satan dans l’Eglise et la mise sous tutelle du Pape

-A 13mn55 : contenu d’une lettre aux Evêques de jean Paul 2 en 1989 abordant notamment le 3ème secret.

-A 16mn35 : propos de Jean Paul 2 devant les évêques Allemands à Fulda

Notes de lecture sur le livre de Malachi Martin, « la maison battue par les vents », parlant entre autres du secret de Fatima :

https://www.araigneedudesert.fr/notes-de-la-maison-battue-par-les-vents-de-malachi-martin/

Homélie du pape Jean Paul 2 du 13 mai 2000 évoquant le dragon de l’Apocalypse et les étoiles jetées sur la terre (symbolisant la trahison d’une partie du clergé).

 https://www.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/homilies/2000/documents/hf_jp-ii_hom_20000513_beatifications.html

D’autres précisions sur les révélations de Jean-Paul 2, issu d’un article d’un magazine chrétien, rédigé peu de temps après la rencontre entre le Pape et les évêques Allemands (texte en français) :

https://fatima.org/pope-john-paul-ii-in-fulda-germany-1980/

Autres sources de révélations sur le 3ème secret :

Propos de Sœur Lucie :

https://fatima.org/the-real-third-secret/

Attitude des papes face au troisième secret :

https://www.fatima100.fr/534

Toute la chronologie de l’histoire du 3ème secret et d’autres détails sur le message de Jean Paul 2 à propos du 3ème secret :

https://fatima.org/about/the-third-secret/

La démission de Benoît 16 :

Version de l’événement par des médias proches du pouvoir :

https://www.lemonde.fr/economie/article/2013/01/04/la-banque-d-italie-interdit-le-vatican-de-carte-de-credit_1812819_3234.html

Version « non censurée » des événements :

https://www.agoravox.fr/actualites/international/article/benoit-xvi-demission-volontaire-ou-130844

La démission de Benoît 16 et les Vatileaks :

https://www.20minutes.fr/monde/942895-20120529-fuites-vatican-tout-comprendre-vatileaks

https://www.lexpress.fr/societe/religion/demission-de-benoit-xvi-un-lobby-gay-derriere-le-scandale-vatileaks_1223410.html#:~:text=Selon%20le%20journal%20Repubblica%2C%20le,au%20coeur%20du%20scandale%20Vatileaks.

Le rapport sur la franc-maçonnerie au Vatican :

https://450.fm/2024/01/18/revolution-franc-maconnerie-et-vatican-la-dynamique-dune-question-ouverte/

Le détail sur l’invalidité de la renonciation de Benoît 16 :

https://www.youtube.com/watch?v=0NBqLpf8hLo

Le martyr des 21 coptes :

https://www.youtube.com/watch?v=3mgJ0UaM_BU

Marie ecrase serpent

Date de dernière mise à jour : 08/04/2025

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